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    L'his­toire dé­bute le jour de la ren­trée des classes au lycée très bi­zarre de Todô Ga­kuen, où Soui­chi­ro Nagi et Bob Ma­ki­ha­ra, élèves de se­conde, dé­cident tout sim­ple­ment d'écra­ser qui­conque se met­trait en tra­vers de leur che­min et de dé­fier les élèves les plus forts... et rien ne peut les ar­rê­ter jusqu'à leur dé­faite face à Ma­sa­ta­ka Ta­kaya­na­gi, membre du club de Juu­ken­bu di­ri­gé par la plan­tu­reuse Maya Nat­sume ac­com­pa­gnée de sa « pneu­ma­tique » soeur Aya.

     
     

    Les pré­sen­ta­tions faites à grand coups de ta­loche en pleine tronche au­ront quand même le mé­rite de voir les deux pe­tits nou­veaux in­té­grer le club qui passe au nombre phé­no­mé­nal de cinq adhé­rents... cinq com­bat­tants ex­cep­tion­nels qui vont de­voir faire face au club le plus puis­sant et bien mys­té­rieux dont le chef cha­ris­ma­tique, Mit­suo­mi, semble avoir un lourd passé qui s'as­so­cie à celui de Maya.

     
     

    Le scé­na­rio se com­plique au fur et à me­sure de la pro­gres­sion. On en sa­live à chaque fin de vo­lume tel­le­ment l'au­teur a le sens du sus­pens, sur­tout grâce aux flash back opéré sur quatre vo­lumes. Ce­lui-ci dé­crit de ma­nière très psy­cho­lo­gique les sen­ti­ments des héros, et no­tam­ment de l'énig­ma­tique Shin qui semble être au coeur des dis­sen­sions. Comme dans Majin Devil, le dé­ve­lop­pe­ment des thèmes re­don­dants est très pré­sent. Oh ! Great ap­porte sa contri­bu­tion sur la science du com­bat, le poids du passé et son im­pact sur le pré­sent pour Maya et Mist­suo­mi par exemple. Toute l'oeuvre est basée sur des flash back qui ap­portent de nou­velles in­for­ma­tions à chaque fois.

     


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